La BIODANZA 
a changé ma vie

C'est en 2002 que j'ai découvert un peu par hasard, la Biodanza. Je trouvais la pratique fantaisiste, pour autant j’en sortais ravie, amusée, étonnée par ma bonne humeur et par l'attitude extrêmement chaleureuse des participants.

Toutefois mon regard restait observateur, à la recherche de plus de sérieux.

J'évoluais dans des milieux où la rigueur et l'analyse ne laissaient que peu de place à la légèreté. Parmi eux, une autre passion, le tango argentin, empreint de contrôle et de concentration.

 

Voilà qu'un jour, au sortir d'un stage de biodanza, je suis allée pratiquer du tango et là, miracle, j'ai dansé comme jamais,  en ayant perdu ma timidité, mes hésitations, mes tremblements, acquérant  une confiance en moi jamais éprouvée jusqu’alors !

 

Peu après, l'un des grands facilitateurs*, Alexandro Toro fils du concepteur Rolando Toro propose un stage  “biodanza et tango”, c’était pour moi !

Lors de cette session, je réalise à quel point la Biodanza décuple ma sensibilité et ma capacité à exprimer les émotions provoquées par le tango argentin. La Biodanza me permettant de vivre mon corps avec plus de liberté, m’ouvrait une connexion fluide avec les danseurs.

 

C'est en 2006 que je me suis lancée dans la formation de facilitateur de Biodanza, avant tout pour comprendre ce qui se passait dans cette « aventure ».

Cette démarche a changé ma vie. Enfin capable de la regarder du côté du verre à moitié plein !

Et quand je parle du verre, en tant que bourguignonne, cela fait sens.

 

En biodanza, pas de dogme, pas de carcan, pas d’obligations, pas de performance, pas de jugement, simplement la reconnexion avec les fondamentaux du « vivant ».

 

Dès le premier module de formation, s’est imposée à moi cette question existentielle : « Ce que je fais, ce que j‘exprime, est-il en respect du principe de La vie, de Ma vie, de la Nature. »

 

A la fin de ma formation, trois ans plus tard, il est devenu évident que je souhaitais transmettre moi aussi, l’amour de vivre proposé par la Biodanza.